Il était une fois...

Le nain, quant à lui, passa la nuit à l'infirmerie, où on lui fit boire les breuvages qu'il désirait si ardemment en arrivant au château. La nuit fut calme dans le château et aux premières lueurs de l'aube on entendit le coq chanter. Tout à coup, un horrible cri se fit entendre à l'intérieur des murs du château. Puis une porte s'ouvrit à la volée et des pas retentir de tous coins. Un nain se tenait debout, devant l'infirmerie dont la porte avait vraisemblablement été violentée, il avait l'air comme neuf, et tout le monde se tenaient autour de lui.

lui qui hier n'avait plus de jambes et qui avait perdu un bras se trouvait là debout en pleine forme et sa lèpre avait disparu... mais quel était donc son mystérieux pouvoir ?
Tout le monde s'empressa d'interroger le nain sur cette incroyable métamorphose, mais ce dernier resta hagard, il semblait rongé par un terrible secret.

Le nain, quant à lui, passa la nuit à l'infirmerie, où on lui fit boire les breuvages qu'il désirait si ardemment en arrivant au château. La nuit fut calme dans le château et aux premières lueurs de l'aube on entendit le coq chanter. Tout à coup, un horrible cri se fit entendre à l'intérieur des murs du château. Puis une porte s'ouvrit à la volée et des pas retentir de tous coins. Un nain se tenait debout, devant l'infirmerie dont la porte avait vraisemblablement été violentée, il avait l'air comme neuf, et tout le monde se tenaient autour de lui.

lui qui hier n'avait plus de jambes et qui avait perdu un bras se trouvait là debout en pleine forme et sa lèpre avait disparu... mais quel était donc son mystérieux pouvoir ?
Tout le monde s'empressa d'interroger le nain sur cette incroyable métamorphose, mais ce dernier resta hagard, il semblait rongé par un terrible secret.

Au bout d'un moment, le nain se retira de devant la porte, laissant entrevoir l'intérieur de la pièce : l'infirmier était là, étendu sur le sol, inerte, au milieu d'une flaque de sang.

lui qui hier n'avait plus de jambes et qui avait perdu un bras se trouvait là debout en pleine forme et sa lèpre avait disparu... mais quel était donc son mystérieux pouvoir ?
Tout le monde s'empressa d'interroger le nain sur cette incroyable métamorphose, mais ce dernier resta hagard, il semblait rongé par un terrible secret.

Au bout d'un moment, le nain se retira de devant la porte, laissant entrevoir l'intérieur de la pièce : l'infirmier était là, étendu sur le sol, inerte, au milieu d'une flaque de sang.
c'était comme si le nain lui avait volé sa vie... des inscriptions étaient inscrites sur le sol, en nains anciens, était-ce une incantation, un rituel nain ?

[bon faut que je m'y colle, c'est ça ? lol, je vais reprendre l'histoire depuis le début]

Une silouhette se glissa à travers deux chevaliers en robe de chambre et le roi, arborant une magnifique chemise de nuit à têtes de morts apparut. Il déclara :
"Qu'on nettoie l'infirmerie, et qu'on prépare le corps à être enterré."
Aussitôt, deux serviteur se hâtèrent. Le roi concentra toute l'intensité de son regard sur le nain :
"Comment t'appelles-tu, seigneur nain ?"

Il était une fois, dans des contrées isolées, perdues après les mers, les forêts et les montagnes, une magnifique princesse attendant son prince charmant à la fenetre de sa chambre.
Et, par une douce journée, elle vit arriver au loin un cortège de chevalier tous venu pour demander sa main. Lorsqu'ils furent assez proches, elle remarqua que l'un d'eux avait une étrange allure. En effet parmis eux il y avait un nain lépreux unijambiste qui après avoir perdu un stupide pari, fut dans l'obligation d'aller trouver la plus belle princesse du royaume... Le pont-levis s'abaissa et tous les chevaliers pénétrèrent dans le chateau, le nain fermant la marche sur son poney. La princesse, enchantée quoiqu'un peu désorientée par la vue de ce dernier prétendant, s'empressa de descendre et apparut sur les marches de son château. Un soupir général devant tant de beauté s'éleva de la troupe en armure. Après quelques instants de silence, le nain prit la parole :
"J'ai soif..."
Ayant beaucoup d'hospitalité le roi du chateau (monsieur le père de la princesse qui avait lui même fait venir tous ces chevaliers plus ou moins charmant), annonça qu'avant de passer au concours les chevaliers étaient tous invité au buffet, ou le vin était au rendez-vous.
A ces mots, le nain lépreux se rua à l'intérieur du château, mais, dans sa précipitation, il trébucha contre une marche et perdit son autre jambe. Il était donc maintenant dans l'incapacité de se battre, et fut alors disqualifier du tournoi, il n'aurait pas la main de la princesse à moins qu'un miracle ne se produise. Le pauvre nain se mit alors à pleurer et la princesse s'approcha de lui avec compassion. Elle appela l'un des beaux et forts prétendants d'un geste de la main, et lui fit signe de sortir son épée. Le nain, comprenant que la princesse voulait mettre fin à ses souffrances s'agita sur le sol et saisit sa hache toute rouillée.
Un combat épique s'engagea alors entre le nain, dont la tête n'était plus à présent qu'à 50 centimètres du sol, et le preux chevalier, qui paraissait indestructible avec sa lourde armure. Tout aussi cruel qu'hospitalier, le roi trancha les jambes du preux chevalier afin d'avoir droit à un combat équitable. Le prétendant, la tête au raz du sol tout comme celle du nain, effleura l'épaule gauche de celui-ci, qui s'arracha comme si elle avait été seulement posée. Heureusement pour lui, le nain était droitier, et il en profita pour enfoncer sa halebarde profondément dans le crâne de son opposant. La princesse arborait une expression d'horreur figée sur le visage. Le nain et le preux chevalier gisaient à présent sur le sol. On les fit enlever de la salle du buffet et le festin commença avec une certaine tension à l'approche du tournoi dans deux jours. Le nain, qui n'était toujours pas mort, recevait à présent les soins du guérisseur du château, qui était réputé meilleur guérisseur du monde connu. Pendant ce temps là mangeoyaient les prétendants, la table étant présidée d'un côté par le roi, et de l'autre par la princesse.
Le festin pris fin et chaque chevalier fût placé dans un chambre, avant de pouvoir se lever tot le lendemain pour l'un des derniers entrainement avant le tournoi. Le nain, quant à lui, passa la nuit à l'infirmerie, où on lui fit boire les breuvages qu'il désirait si ardemment en arrivant au château. La nuit fut calme dans le château et aux premières lueurs de l'aube on entendit le coq chanter.
Tout à coup, un horrible cri se fit entendre à l'intérieur des murs du château. Puis une porte s'ouvrit à la volée et des pas retentir de tous coins. Un nain se tenait debout, devant l'infirmerie dont la porte avait vraisemblablement été violentée, il avait l'air comme neuf, et tout le monde se tenaient autour de lui. Lui qui hier n'avait plus de jambes et qui avait perdu un bras se trouvait là debout en pleine forme et sa lèpre avait disparu... mais quel était donc sont mystérieux pouvoir ? Tout le monde s'empressa d'interroger le nain sur cette incroyable métamorphose, mais ce dernier resta hagard, il semblait rongé par un terrible secret.
Au bout d'un moment, le nain se retira de devant la porte, laissant entrevoir l'intérieur de la pièce : l'infirmier était là, étendu sur le sol, inerte, au milieu d'une flaque de sang. C'était comme si le nain lui avait volé sa vie... des inscriptions étaient inscrites sur le sol, en nains anciens, était-ce une incantation, un rituel nain ?
Une silouhette se glissa à travers deux chevaliers en robe de chambre et le roi, arborant une magnifique chemise de nuit à têtes de morts apparut. Il déclara :
"Qu'on nettoie l'infirmerie, et qu'on prépare le corps à être enterré."
Aussitôt, deux serviteur se hâtèrent. Le roi concentra toute l'intensité de son regard sur le nain :
"Comment t'appelles-tu, seigneur nain ?"
[mon nom est bond, james bond lol]
Le nain fixait le roi sans bouger ni cligner des yeux mais ne répondait pas.
De nouveau le roi lui demanda quel était son nom, le nain resta de marbre tout en continuant à fixer le roi.

Le nain fixait le roi sans bouger ni cligner des yeux mais ne répondait pas.
De nouveau le roi lui demanda quel était son nom, le nain resta de marbre tout en continuant à fixer le roi. Puis, ses petits yeux noirs balayèrent la salle et tous ses occupants (la totalité des résidents du château en fait), s'arrêtèrent quelques minutes sur la princesse, puis il ouvrit la bouche :
"Mon nom est Burdil, puissant seigneur, et je suis ici pour demander la main de votre fille, comme tous ces braves chevaliers qui nous entourent."

Le nain fixait le roi sans bouger ni cligner des yeux mais ne répondait pas.
De nouveau le roi lui demanda quel était son nom, le nain resta de marbre tout en continuant à fixer le roi. Puis, ses petits yeux noirs balayèrent la salle et tous ses occupants (la totalité des résidents du château en fait), s'arrêtèrent quelques minutes sur la princesse, puis il ouvrit la bouche :
"Mon nom est Burdil, puissant seigneur, et je suis ici pour demander la main de votre fille, comme tous ces braves chevaliers qui nous entourent."

à ces mots le roi lui répondit séchement qu'il aurait la main de sa fille à la seule condition de remporter le tournoi qui commençait le lendemain.

la princesse touchée par cette délicieuse attention , prit la fleur et sentit a pleines narines son délicat parfum ....
HORREUR ET PUTRéFACTION !!!! c'était une rose jaune jaune et comme chacun sait les princesses sont allergiques aux roses jaunes , la princesse s'écroula au sol inanimée .......

Le Roi, horrifié, prit de force une épée des mains d'un chevalier et pointa la lame à quelques centimètres de la gorge du nain, prêt à lui trancher la tête.

pourquoi ? nul ne le sait ....

et maintenant le roi était bien embété avec sa fille dans les pommes, les chevaliers en pleurs , un nain taré doté de supers pouvoirs et son infirmerie dévasté ...... il commencait a penser qu'une loi sur l'immigration des nains ferait du bien a ce pays .....



[ ou comment introduire une controverse politique dans un conte de fées ..... ]

sire nicolaï était (comme son nom l'indique ou pas ) un tahitien , certes bien formé , mais la n'était pas tout son talent , sa salive était magique (pourquoi diable la salive ? demandez donc aux fées qui se sont penchées sur son berceau ...)

15 jours plus tard, Sire Nicolaï arriva au château, cracha sur le paillasson (ce qui le fit prendre vie puis se rouler en boule) et s'empressa d'aller rejoindre le Roi et les chevaliers (qui pleuraient toujours).

il embrassa tout le monde , (si si sur la bouche ) , et cmme par miracle le sortilége fut levé , le tournoi allait enfin pouvoir commencer ...

en effet et le roi pris soin de le rapeller bien vite a l'ordre , c'est alors qu'un probléme majeur apparu , sir nicolaï était de gauche et le roi de droite (baptisés comme ceci non pour leur orientation politiques mais pour leur origine , en effet étre de gauche signifiait a l'époque avoir du sang nain dans les veines , et a droite l'inverse ) il apparu bien vite que sir nicolaï lui serait de peu d'aide pour la loi extrément restrictive que désirait le roi .............

et ajouta quelques sangsues pour le purger de sa folie roulage de patins ...

le traitement s'avera efficasse et sire nicolai se retrouvais donc pour le parti du roi.